être rappelé

Value IT à l’honneur dans la Presse !

Le Magazine Informations Entreprise vient tout récemment de nous consacrer un article qui fait la part belle à notre savoir-faire et au fort développement de Value IT.

Une très belle opportunité de partager notre vision et nos valeurs centrées sur l’expertise, la disponibilité et la réactivité.

Merci aux équipes du Magazine Informations Entreprise pour cet article à retrouver dans le N°182 Avril, Mai et Juin 2022.

Bonne lecture ,-)

Value IT à l'honneur dans Informations Entreprise

Le Wi-Fi 6 – Qu’est-ce qu’il peut apporter concrètement à votre PME ?

Aujourd’hui, l’un des enjeux de performance des entreprises est la connectivité sans fil et notamment sa vitesse. C’est justement l’apport du Wi-Fi 6, de plus en plus considéré au sein des entreprises. En quoi cette version de Wi-Fi, peut-elle répondre à vos besoins et qu’apporte t-elle de plus ?

Les caractéristiques du WI-FI 6

Définition du Wi-Fi 6

De nos jours, les collaborateurs utilisent de plus en plus d’applications hébergées dans le cloud et la navigation sur Internet. Ces connexions exigent un débit élevé et pour les collaborateurs une connectivité haute performance.

Nous constatons une nouvelle génération de Wi-Fi au sein des entreprises pour répondre à cette demande, le Wi-Fi 6. Permet d’accroître l’efficacité et la vitesse du réseau pouvant atteindre un débit de 10 Gbit/s, soit trois fois plus rapide que le Wi-Fi 5. Cette version atteint cette performance car elle utilise un canal de fréquences plus large, de 80 MHz à 160 MHz. La connexion entre les routeurs et les périphériques est facilitée.

Le Wi-FI 6 représente une révolution des réseaux d’entreprises sans fil.

Les bénéfices du Wi-Fi 6

Au sein d’une entreprise un grand nombre d’appareils sont connectés en même temps. Le Wi-Fi 6 va ainsi permettre aux salariés de bénéficier d’un débit optimal avec une réduction du temps de latence. Les connexions vont être permanentes, sans engorgement, plus stables et sécurisées.

De plus, le Wi-Fi 6 permet aux entreprises de contrôler de nouvelles applications sur un même réseau LAN sans fil (WLAN). Cela ouvre la voie à une plus grande adoption du Wi-Fi.

WI-FI 6 E et WI-FI 6 release 2

Une nouvelle version du Wi-Fi 6 a fait son apparition depuis peu, le Wi-FI 6 E. Il reprend le nom de la précédente version en ajoutant une lettre E pour Extented. Cette norme propose des débits allant jusqu’à 11 Gbps. La particularité de cette norme, est d’utiliser la bande 6 GHz qui va permettre de désengorger les bandes actuelles. Une prise en charge de toujours plus de périphériques ainsi qu’une meilleure prise en charge de la vidéo en 8K. En effet, cette évolution permet de prendre en charge le trafic multigigabit, parfaitement adapté à la vidéo haute définition.

Une troisième variante de Wi-Fi 6 a été mise en place sur le marché, le Wi-Fi 6 version 2. Il offre des fonctionnalités supplémentaires par rapport au WI-FI 6 E notamment une plus grande capacité de vitesse pour les envoi et pour le téléchargement de données. De plus, il permet une meilleure gestion de l’efficacité  énergétique pour les appareils concernés et réduit la latence pour les vidéoconférences.

La génération Wi-Fi 7 n’est quant à elle qu’en phase projet et sera disponible qu’à partir de 2024.

Le Wi-Fi 6 : une meilleure couverture Wi-Fi et un débit plus rapide

Le Wi-fi 6 présente une multitude d’avantages pour votre enseigne :

  • Une meilleure couverture Wi-Fi: un plus grand nombre d’appareils connectés que les versions précédentes et tout cela sans congestion afin de répondre à vos besoins. Nous assistons à une division des canaux Wi-Fi en sous-canaux qui vont transporter des données sans interférence.
  • Un débit plus rapide: la transmission de données est 40% supérieures à celles du Wi-Fi 5. Ce débit élevé va permettre d’afficher en local de la vidéo 8K et d’offrir la HD 4K lors de visioconférence.
  • Amélioration de l’économie d’énergie pour les équipements sans fil: un nouveau système est intégré dans le Wi-Fi 6, le TWT (Target Wake Time). Il va permettre de mettre en veille la communication entre votre routeur et vos appareils qui sont connectés au Wi-Fi lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Les batteries de vos ordinateurs seront beaucoup moins impactées.
  • Une sécurité de vos données optimale: le Wi-Fi 6 dispose du chiffrage WPA3, il va garantir une meilleure sécurité de vos données lorsque vos collaborateurs vont naviguer sur Internet. Ce système fournit une authentification plus robuste.Le Wi-Fi 6 - Qu'est-ce qu'il peut apporter concrètement à votre PME ?

Comment activer le Wi-Fi 6 ?

La mise en place du Wi-Fi 6 nécessite de vérifier plusieurs points :

  • Vous devez disposer de réseau câblé compatible, le Gigabit est d’ailleurs recommandé. Pour garantir un débit élevé utilisez un câblage Cat6a, Cat7;
  • Il est essentiel d’avoir des terminaux (ordinateurs, smartphones etc) compatibles pour accéder aux fonctionnalités du Wi-Fi 6. Certaines infrastructures devront procéder à un renouvellement des ordinateurs des collaborateurs;
  • Une connexion très haut débit est recommandée.

Le Wi-Fi 6 montre une avancée significative dans la technologie des réseaux sans fil. Il a un impact considérable au sein des entreprises puisqu’il permet aux collaborateurs d’avoir une connexion plus rapide et plus sécurisée.

La mise à niveau vers le Wi-fi 6 mérite d’être envisagée. Nos équipes sauront analyser votre environnement et vous conseiller sur la solution la plus adaptée. Nous proposons comme produit la gamme de borne WI-FI de la marque Meraki compatible au WI-FI 6. Les experts de VALUE IT pourrons vous accompagner avec un audit de votre réseau mais aussi une étude de couverture WI-FI afin d’optimiser l’installation.

Value IT accélère son développement !

Value IT a le plaisir de vous annoncer l’acquisition de Deuzzi, une société référente en région AURA et experte dans l’accompagnement des PME et ETI dans la gestion de leur SI. De la mise à disposition de DSI en temps partagé jusqu’au pilotage des prestataires en passant par l’assistance à maîtrise d’ouvrage et l’aide à la décision sur les parties opérationnelles et fonctionnelles des entreprises.

Ces services viennent donc compléter l’offre de solutions de Value IT, qui désormais renforce son expertise informatique et accompagne ses clients sur toute la chaîne de valeur de leur SI, du conseil jusqu’à la mise en œuvre de leurs différents projets.

Cette alliance constitue une nouvelle étape du développement stratégique du Groupe Value IT : elle ouvre de très belles opportunités commerciales avec un élargissement de son portefeuille, et accélère sa diversification vers des activités de DSI, Gouvernance et AMO.

Comme le souligne Jeremy Orlowski, PDG du groupe Value IT, « ce projet de rapprochement vient renforcer nos forces opérationnelles et notre expertise dans le but d’offrir à nos clients une valeur et une qualité de service supérieurs. »
Ce premier projet de croissance externe marque une étape stratégique importante et permet au groupe Value IT d’atteindre ses objectifs 2022.

Le groupe conforte ainsi sa position d’acteur référent et expert dans les services IT en région AURA et IDF, avec un CA consolidé de 9M€ et 40 collaborateurs.

Deuzzi devient Deuzzi by Value IT

France Relance “Parcours de cybersécurité” : VALUE IT est référencé prestataire terrain

Le dispositif France Relance comporte différents volets, dont l’un est consacré au renforcement du niveau de cybersécurité des organismes au service des citoyens : collectivités territoriales, administrations, établissements de santé… L’objectif est simple : protéger ces organismes contre les risques de cyberattaques et pouvoir les contrer. Pour ce faire, le gouvernement français a confié à  l’Autorité Nationale en matière de Sécurité et de Défense des Systèmes d’Information (ANSSI) un budget de 136 M€.

Chaque parcours cybersécurité permet d’atteindre un objectif de cybersécurité de façon progressive, mesurable et adaptée à chaque établissement.
La mise en oeuvre de ce dispositif d’accompagnement se décline en 3 phases.

  • Un pré-diagnostic, réalisé par l’ANSSI, va orienter le bénéficiaire vers le parcours cybersécurité le plus adapté à ses besoins et ses enjeux. Par la suite, l’ANSSI passe le relais au prestataire terrain afin de mettre en place les premières mesures de sécurisation du pack initial.
  • Un état des lieux général (Pack initial)
    •Etat des lieux organisationnel et plan de sécurisation
    •Sensibilisation des administrateurs du SI, des équipes du service achat
    •Cartographie des zones de vulnérabilités
    •Accompagnement MOE : mise en œuvre urgente de sécurisation opérationnelle
  • Le plan de sécurisation (Pack relais) : Un ou plusieurs accompagnements complémentaires et ciblés sont proposés aux bénéficiaires du volet cybersécurité afin d’approfondir certaines actions de sécurisation et déployer des solutions de sécurité.
    •Le prestataire terrain met en œuvre des mesures de cybersécurité et met à jour la feuille de route du bénéficiaire
    •Le cyberscore du bénéficiaire défini au moment de la phase d’état des lieux est alors actualisé

Cybersécurité Plan France Relance - VALUE IT est prestataire terrain

Ce parcours de cybersécurité (Plan France Relance) vous intéresse et vous souhaitez profiter de l’aide de l’Etat pour renforcer votre niveau de cybersécurité ? N’hésitez pas à nous contacter ! Nommé prestataire terrain par l’ANSSI, VALUE IT vous propose un accompagnement personnalisé et vous apporte les réponses à toutes vos questions (financement, limite de candidature, modalités d’inscription…)

Microsoft met fin à son programme Open en 2022

Le contrat Open ne sera plus disponible dès le 1er janvier 2022. De ce fait, les entreprises ne pourront plus acheter de nouvelles licences de logiciels ou de services en ligne, ni même les renouveler via le programme Open License de Microsoft.

Les achats se feront désormais par l’intermédiaire des partenaires du programme Cloud Solution Provider (CSP). Les organisations utilisant la Software Assurance (SA) devront acheter la SA par le biais des programmes Open Value et Open Value Subscription.

Cette fin de programme Open s’inscrit dans un processus de disparition progressive des autres programmes de licences.  Comme cités ci-dessus, Open Value et Open Value Subscription sont également voués à disparaître, d’ici à 5 ans.

Microsoft met fin à son programme Open License en 2022

Quel impact pour vous, utilisateur de Microsoft open License ?

Pour connaître l’impact que ce changement aura sur votre organisation ou sur vos prochaines acquisitions, n’hésitez pas à nous contacter ! Partenaire du programme Cloud Solution Provider, Value IT prestataire informatique à Saint-Etienne saura vous accompagner. Nos experts sont disponibles pour échanger sur ce sujet : contact@value-info.fr 

Avez-vous besoin d’externaliser votre SI ?

Autrement appelée externalisation du système d’information, l’infogérance consiste à déléguer partiellement ou totalement à un prestataire informatique spécialisé des missions telles que la gestion de son système d’information, la maintenance de ce système, son évolution ou sa sécurité.

Dans cet article, après une présentation des types d’infogérance et services inclus dans une prestation, nous vous donnons les clés pour déterminer si votre entreprise a un réel besoin d’externalisation de son SI. Et, quelque soit la taille de votre entreprise, votre réflexion doit s’inscrire dans le cadre d’une stratégie globale de développement.

 

Externalisez votre IT en toute confiance ! Notre modèle de cahier des charges vous guide étape par étape. Cliquez pour le télécharger !

L’infogérance et ses différents niveaux

Le niveau d’infogérance diffère selon plusieurs facteurs inhérents à une entreprise. Activité et taille de la structure, implantations géographiques, nature et volume des données, budget alloué, priorités de la Direction sont autant d’éléments à prendre en compte afin de choisir un type d’infogérance informatique.

Un audit du système d’information est d’ailleurs recommandé en début de prestation afin d’adapter le niveau d’infogérance aux besoins de l’entreprise.

L’infogérance partielle

L’infogérance partielle consiste à confier au prestataire infogérant la gestion d’une partie seulement du SI : il peut s’agir du système, des matériels ou encore des applications.

L’infogérance globale

L’infogérance globale consiste quant à elle à déléguer la totalité de la gestion de son système d’information au prestataire. Dans ce cas, un comité de pilotage régulier ainsi que des rapports sont mis en place et indiquent les actions menées et les décisions à prendre.

L’infogérance applicative

Ce modèle d’infogérance concerne la gestion, le développement et le maintien des logiciels et des applications métiers de l’entreprise. Le prestataire développe l’optimisation des performances des logiciels et applications externalisés. Lorsque des anomalies apparaissent, le prestataire infogérant les corrige et propose les évolutions nécessaires.

Les différents services de l’infogérance

La prestation d’infogérance inclut différents services. Value IT propose :

Le Maintien en Condition Opérationnelle (MCO) et la maintenance préventive des équipements

  • Infrastructure Serveur et Réseau
  • Solution Collaborative
  • TOIP

La maintenance curative

  • Gestion des postes de travail (ordinateurs fixes ou portables, imprimantes personnels, logiciels)
  • Gestion des utilisateurs et des droits d’accès (LDAP, Active Directory) `
  • Installation des nouveaux matériels
  • Gestion de la garantie en cas de panne
  • Prêt de matériel en cas de panne
  • Infrastructure Serveur et réseau et TOIP

Exploitation et administration

Les équipes techniques de Value IT interviennent sur des domaines très variés : filtrage des pare-feu, messagerie, anti-virus, antispam etc. Plus concrètement, les prestations suivantes sont assurées :

  • Gestion des abonnements des différents logiciels
  • Gestion des renouvellements de licences.
  • Gestion des mises à jour
  • Gestion et mise à jour des anti-virus
  • Infrastructure Serveur et réseau et TOIP

Supervision ou monitoring des systèmes informatiques

Via la combinaison de trois outils, Value IT propose à ses clients une solution complète de supervision dont l’objectif est d’anticiper les dysfonctionnements du système d’information. Ce dernier dispose d’une plus grande disponibilité grâce à la surveillance permanente des sauvegardes, des éléments matériels et des logiciels.

Le client peut également analyser la performance de son SI grâce aux tableaux de bord et aux données détaillées.

Support technique / assistance

Le support technique ou guichet unique est le centre de service composée d’une équipe support qui accueille les appels, emails et tickets des utilisateurs. Les demandes sont classifiées en fonction de 3 paramètres : l’existence d’une demande antérieure ou une nouvelle demande, la nature de la demande (incident, demande de changement ou d’évolution) et la sévérité (le nombre d’utilisateurs impactés ou l’urgence).

Gestion des sauvegardes

VALUE IT assure des sauvegardes conformes à la politique définie conjointement avec son client, et contrôle via des tests manuels, le bon fonctionnement des sauvegardes réalisées.

Il est recommandé de mettre en place des sauvegardes à la fréquence suivante :

  • Une sauvegarde complète le week-end
  • Une sauvegarde incrémentale tous les jours de la semaine hors week-end.
  • Rotation sur 5 semaines
  • Une archive mensuelle à la clôture comptable du mois
  • Une archive semestrielle

Comité de pilotage

Ce comité se tient en général 1 fois par an. Il vise à faire le point sur le contrat et notamment :

  • Vérifier le respect des engagement pris au contrat.
  • Faire le bilan des prestations effectuées par VALUE IT
  • Envisager les évolutions du système d’information

L’infogérance, oui, mais pour qui ?

On entend souvent dire que l’infogérance est réservée aux grandes entreprises. A tort. Ce sont principalement les PME et TPE qui ont recours à l’infogérance pour la gestion de leur parc informatique car elles manquent bien souvent de compétences en interne.

Quant aux grandes entreprises, ces dernières vont plutôt opter pour une infogérance partielle, par exemple pour la délégation de l’assistance utilisateur ou la maintenance préventive de leurs serveurs.

Mais, finalement, peu importe la taille de votre entreprise, il convient de vous poser les bonnes questions, pour savoir si, oui ou non, vous avez un réel besoin d’externalisation de votre SI.

Posez-vous les bonnes questions et lever les freins

Confier la gestion partielle ou totale de vos ordinateurs, serveurs, données, logiciels à un prestataire informatique est une démarche qui doit s’inscrire dans une stratégie globale. L’entreprise qui réfléchit à un projet d’infogérance doit en premier lieu s’assurer que l’externalisation coïncide avec sa stratégie de développement et sa propre culture.

Une externalisation ne doit pas être un simple réflexe à un événement ponctuel telles que des difficultés rencontrées lors de la mise en œuvre d’un nouveau programme informatique par exemple. Il n’est pas ici question de dépannage, au coup par coup.

Il est également important d’impliquer tous les services. Ainsi une campagne de communication interne s’avère indispensable.

Pour savoir si votre besoin d’infogérance est réel, répondez à quelques questions : rencontrez-vous régulièrement des pannes informatiques ? Avez-vous l’impression que vos collaborateurs passent du temps à résoudre leurs problèmes informatiques ou ceux de leurs collègues ? Votre SI est-il complexe et nécessite-t-il des compétences techniques pour sa gestion ?

Si le « oui » l’emporte à plusieurs reprises, c’est que vous avez sans doute intérêt à externaliser votre SI. Les avantages de l’infogérance sont nombreux : contrôle des coûts, gain en performance, adaptabilité et réactivité en cas d’incidents…

Lever les freins

Peut-être craignez-vous de perdre la maîtrise de votre système d’information ou avez-vous peur d’éventuels dysfonctionnements… Bien sûr, cette transition est une phase déterminante. Mais rappelez-vous que vous l’infogérant est un spécialiste. Une équipe d’experts va travailler avec méthodologie, auditer le SI de votre entreprise, comprendre vos besoins et présenter ses actions au travers d’une feuille de route. Cette transition doit s’effectuer de manière progressive, et avancer par palier.

Quand externaliser votre SI ?

Les objectifs qui peuvent motiver le passage à l’infogérance peuvent être multiples. Mais quels sont les signes principaux qui indiquent que le moment est venu ?

  • L’atteinte d’une taille critique: au-delà d’un certain seuil, il peut devenir trop coûteux, trop lourd pour une entreprise de continuer à gérer elle-même tout ou partie de son SI.
  • La concentration de votre temps de travail sur le SI, vous vous détachez alors de votre mission initiale

A quels besoins l’externalisation informatique doit-t-elle répondre ?

On constate que les deux principaux besoins exprimés par les entreprises qui ont recours à l’infogérance sont la baisse des coûts et l’accroissement de la souplesse.

Cette baisse des coûts s’explique pour deux raisons principales :

  • Les économies d’échelle réalisées par l’infogérant
  • Des dépenses maîtrisées pour le client : l’entreprise ne paie son prestataire informatique qu’en fonction des prestations demandées. De ce fait, les coûts fixes liés à l’informatique sont supprimés et transformés en coûts variables.

L’accroissement de la souplesse quant à elle provient du fait qu’il est souvent plus simple pour une entreprise de contrôler une activité externalisée que de la gérer en interne.

Externaliser le SI de son entreprise permet également de gagner en qualité de services (grâce aux compétences des experts), de se recentrer sur son cœur de métier.

 

Alors que vous êtes convaincu des avantages à opter pour une externalisation de votre SI, il convient à présent de rédiger un cahier des charges des prestations que vous souhaitez obtenir auprès d’un infogérant. Un prestataire informatique de confiance qu’il faudra choisir en prenant soin de vérifier des critères majeurs : sa réactivité, ses capacités d’écoute, son expertise ou encore sa proximité.

Des questions quant à votre projet d’infogérance ? Qu’il s’agisse d’un nouveau projet ou d’un changement de contrat, n’hésitez pas à nous contacter. Notre équipe d’experts saura vous guider et vous accompagner dans votre démarche de transition.

Migration vers le Cloud : comment réussir l’externalisation de votre SI ?

Convaincu par les avantages du Cloud pour votre entreprise, vous avez décidé de franchir le pas. Une fois l’analyse de vos besoins réalisée, la solution et un partenaire de Cloud choisis, le vrai travail commence. Celui de réussir l’externalisation de votre système d’information.

La migration de votre infrastructure informatique ou de certaines de vos applications nécessite de procéder par étapes : planifier, exécuter, surveiller.

La démarche de migration vers le Cloud est un processus complexe. Seule une stratégie clairement définie au sein de votre organisation vous permettra de déjouer les dangers inhérents à ce projet de transformation.

 

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Une stratégie de migration vers le Cloud

La migration vers le Cloud n’est pas simple. Un projet Cloud n’est pas un projet d’infrastructure, limité, par exemple à un changement de datacenter. Il s’agit d’un réel projet de transformation piloté par des enjeux métiers aux formes multiples.

La transition vers le Cloud doit être traitée comme un projet stratégique et d’envergure qui impliquera tous les services de l’entreprise.

Trois principes sont nécessaires pour une migration réussie :

  • Rendre le SI plus flexible pour favoriser les intégrations ou cessions d’activités
  • Développer de nouvelles applications et gagner de nouvelles parts de marché
  • Réduire les coûts opérationnels (infrastructure, opérations, déploiement, maintenance…)

Pour ce projet de transformation, il sera nécessaire de concevoir un plan de migration. Ce plan ou feuille de route permet de donner une direction, une discipline et une responsabilité à ce processus complexe qu’est la migration vers le Cloud.

Cette feuille de route comporte plusieurs étapes. Découvrons-les !

Planifier votre migration Cloud

Première étape d’une migration réussie, la planification de votre migration Cloud sous-entend de :

  • Penser chaque application et ses données comme un seul et même ensemble
  • Mettre en place une architecture de données stratégiques adaptée aux enjeux de votre entreprise. Il s’agit de construire une architecture pérenne, scalable et fiable en intégrant tous les sujets d’automatisation dès la conception.
  • Institutionnaliser la gestion des données afin de garantir que ces dernières soient de haute qualité, traçables et fiables pour l’entreprise.
  • Créer des politiques de gouvernance spécifiquement adaptées au Cloud. Et ce, afin de tirer avantage de ce que le Cloud a à offrir: vitesse, agilité, évolutivité … Le plus grand changement en matière de gouvernance dans un contexte Cloud consiste en une attention particulière portée à la suppression des étapes manuelles d’analyse et de configuration.
  • Impliquer tous les services de l’entreprise: une migration n’est pas qu’une simple transition informatique. Ce changement affecte également le personnel. Chaque salarié est concerné et doit adhérer au projet.

Exécuter : migrer vos applications et vos données

C’est l’entrée dans la réalisation concrète du projet.

On procède aux déplacements effectifs des données, à l’exécution des procédures de changement de structure et à la modification des processus. Il s’agit également de réaliser les paramétrages finaux et, si besoin, réajuster le dimensionnement.

Là aussi, il convient de procéder par étapes :

  • Effectuer la sauvegarde de vos serveurs et données afin de maintenir la disponibilité des applications pendant le processus de migration ;
  • Déployer l’environnement Cloud : cela implique la connexion et les tests de tous les composants (de stockage, de calcul, de base de données, de sécurité…) ;
  • Migrer les serveurs, données et applications 
  • Valider et ajuster l’environnement de production : vous devez vérifier que toutes vos données sont présentes. De leur côté, les utilisateurs finaux des applications migrées doivent vérifier que toutes les fonctionnalités sont accessibles et opérationnelles
  • Adopter une approche de sécurité avant tout : la sécurité ne doit pas être ajoutée après coup. Au contraire, elle est un composant essentiel. À mesure que l’utilisation des services Cloud et la vitesse des déploiements augmentent, il faut rechercher efficacement toutes les configurations non conformes sur vos domaines Cloud.

Après la migration, piloter le Cloud au quotidien et surveiller l’environnement de production

Votre migration Cloud est un succès. Mais il ne s’agit pas pour autant d’une fin en soi.  Des outils et des processus doivent être mis en place pour surveiller le nouvel environnement d’un point de vue sécurité, fiabilité et rentabilité.

L’expérience utilisateur doit être positive. De ce fait, l’infrastructure doit être suivie de près, chaque jour, pour s’assurer du fonctionnement et de la performance des applications.

Cette supervision s’organise en 6 étapes :

  • Déterminer les applications critiques : CRM, bases de données, logiciels de paie, messageries…
  • Réaliser un inventaire des éléments associés à ces applications: contrats de licence et de support, serveurs dédiés, etc.
  • Communiquer avec les équipes métiers et les autres services comme le marketing, les RH afin de connaître leurs besoins.
  • Mettre en place des KPI (indicateurs clés de performance) pour l’optimisation du pilotage: disponibilité, fonctionnalité des services, évolutivité, maintenance, coûts, etc.
  • Mettre à disposition des tableaux de bord dédiés à chaque équipe métier pour faciliter leur propre suivi et optimiser leur expérience utilisateur.
  • Réaliser un reporting régulier

De plus, quels que soient les applications, les opérations ou les services que vous migrez vers le Cloud, assurez-vous de mettre en place une culture d’amélioration continue dans votre entreprise afin d’optimiser les avantages du Cloud.

Les défis d’une migration vers le Cloud

La migration est un long chemin qui peut cacher des pièges, des obstacles non prévus, voire des dangers. Citons-en quelques-uns :

  • Les interruptions : Il est primordial de conserver la disponibilité des applications et des services pendant les phases de transfert. Une interruption temporaire des serveurs internes peut intervenir pendant le processus de migration. D’où l’importance de mettre en place un système de sauvegarde adapté, sans quoi, une panne peut avoir des conséquences désastreuses sur la fidélité des clients.
  • Les pertes de données : Afin de réduire les risques, des contrôles de sécurité du Cloud comme le chiffrement des applications doivent être appliqués.
  • La gestion des ressources : La migration Cloud, comme tout changement, aura un impact humain. L’entreprise doit prendre en compte ce fait. Les dirigeants doivent s’assurer de l’adhésion des salariés au projet et expliquer que le passage au Cloud implique des modifications dans les méthodes de travail, et dans le rôle de chacun au sein de l’organisation.
  • L’interopérabilité : Assurer une communication fluide et efficace entre vos applications existantes et les environnements Cloud récents n’est pas une chose facile. Il faudra sans doute adapter vos processus en fonction de votre fournisseur Cloud.

 

L’intégration du Cloud dans les environnements informatiques en place est une démarche complexe. De plus, chaque projet de migration vers le Cloud est différent. C’est pourquoi il n’y a pas d’approche systématique pour réussir. Il existe toutefois des règles de bonnes pratiques à suivre pour relever les défis d’une migration.

Il est essentiel de ne pas brûler les paliers et agir par étapes. Une gestion intelligente de votre migration vous permettra d’exploiter toute la puissance du Cloud : évolutivité, résilience, sécurité, et réduction du coût total d’exploitation.

Mais ce n’est que le début… l’après migration n’est pas à sous-estimer. Au contraire, il s’agira de générer de la valeur sur le long terme via la mise en place d’une culture d’amélioration continue au sein de votre organisation.

Comment choisir son fournisseur d’hébergement Cloud

Trouver la meilleure solution Cloud pour le stockage de vos données n’est pas chose aisée. Cloud public, Cloud privé, Cloud hybride, ou encore multi Cloud, que choisir ? La pléthore d’offres et d’arguments de vente peuvent vous désorienter. C’est pourquoi, comprendre votre organisation et auditer vos besoins fonctionnels et techniques s’avère une étape primordiale. Une fois ces besoins précisément définis, il s’agira de sélectionner votre fournisseur de Cloud. 

Dans cet article, nous vous dévoilons les critères déterminants pour trouver un partenaire de confiance qui saura allier compétence technique, fiabilité et qualité de service. Enfin, vous découvrirez les éléments clés que doit comporter le contrat vous liant à votre fournisseur de services Cloud.

Définir ses besoins en Cloud

Comprendre votre organisation et auditer vos besoins

Préalable indispensable à toute gestion de projet, la définition des besoins s’avère essentielle dans le cas d’une mise en place de projet Cloud. Car vos besoins en Cloud, en termes de prestations, vont nécessairement dépendre de votre activité. Certaines entreprises auront besoin d’utiliser des logiciels intégrés, d’autres utiliseront le Cloud dans le but unique de stocker des données.

Quelle que soit votre activité, il est donc primordial de comprendre votre organisation et d’auditer vos besoins technologiques.

Cet état des lieux doit prendre en compte l’existant mais il doit également permettre une projection sur les évolutions futures de l’entreprise et la manière dont le système d’information doit les accompagner. Il s’agit de lister les fonctionnalités actuellement utilisées et celles qui pourraient l’être à moyen ou long terme.

Et bien souvent, comme le champ laissé aux configurations personnalisées est restreint, le choix de la solution Cloud est déterminant. Il faut alors déterminer :

  • le positionnement de l’IT vis à vis des métiers,
  • les différentes priorités et objectifs liés à la délivrance des services IT: une meilleure qualité de service, plus de flexibilité, une réduction des coûts ?

Aussi, les objectifs peuvent différer selon les activités et services de l’entreprise. Que souhaitez-vous faire ?  Optimiser les ressources ? Automatiser le fonctionnement du système d’information ? Simplifier l’infrastructure ?

Les bonnes questions à se poser avant de se lancer

Dans tous les cas et quels que soient vos objectifs, posez-vous les bonnes questions ! Interrogez-vous sur vos applications, votre environnement, la scalabilité recherchée, les coûts engendrés par une migration vers le Cloud, le retour sur investissement…Ne vous lancez pas tête baissée !

  • Quelles tâches au sein de votre organisation peuvent désormais être automatisées ou dématérialisées ?
  • Parmi les applications que vous souhaitez faire migrer, quelles sont celles qui sont compatibles avec le Cloud? Une application peut en effet avoir été développée en interne pour un métier, et son équivalence dans le Cloud ne sera pas forcément possible.
  • L’application a-t-elle besoin de s’interconnecter au système d’information de l’entreprise ou d’accéder à des données hébergées en interne (accès à une base de données ou à un annuaire)
  • L’application dans le cloud va-t-elle améliorer l’agilité par rapport aux solutions existantes hébergées par l’entreprise ?
  • Quelles sont vos contraintes liées à l’environnement ? S’agit-il d’un système d’exploitation Windows ou Linux ?
  • Avez-vous besoin de fonctionnalités à la demande? Votre activité nécessite-t-elle un besoin en scalabilité fort ?
  • Quel est le coût de la migration vers le Cloud et le retour sur investissement ? Le passage vers le cloud est-il rentable ? Allez-vous en tirer des bénéfices? (Meilleure productivité, qualité de service, satisfaction client et équipes internes)

Les critères à prendre en compte pour choisir le bon fournisseur d’hébergement Cloud

Une fois vos besoins clairement définis, le choix du partenaire est alors à réaliser. Migrer vers un Cloud, c’est confier tout ou en partie son IT et ses données à un hébergeur externe. Il s’agit d’un choix important pour votre entreprise et le facteur économique ne peut pas être le seul critère à prendre en compte. Vérifiez les points suivants :

  • La conformité légale : première vérification indispensable : les infrastructures du fournisseur d’hébergement Cloud sont-elles conformes à tous les règlements français et européens ?
  • Les normes ISO et le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données): le fournisseur respecte-t-il la réglementation ?
  • L’Offre : les solutions Cloud du prestataire IT correspondent-elles aux applications de votre entreprise ? L’environnement qu’il peut fournir est-il adapté (Windows, Linux…) ?
  • La qualité de service : il est crucial de s’assurer de la réactivité du support et des engagements pris dans le cadre d’éventuelles défaillances techniques: quelle est la disponibilité du service client ? Quels sont les délais de prise en charge, de résolution ou contournement de l’incident ?
  • La connaissance de votre secteur d’activité : le prestataire a-t-il des références clients auprès d’entreprises de votre secteur d’activité??
  • La flexibilité: le fournisseur propose-t-il des solutions sur mesure, au plus près de vos besoins métiers et contraintes ?
  • La santé financière: pourra-t-il vous accompagner sur le long terme ?
  • Les technologies: la disponibilité de service sur le Cloud est un critère important. Quelle est la disponibilité du réseau ? Les datacenters sont-ils éloignés des uns des autres pour ne pas dépendre du même réseau électrique ? Quel niveau de garantie de disponibilité est mis en place ? Ce critère st exprimé en pourcentage de temps. Par exemple, un taux de 99.9% correspond à 8h76 d’indisponibilités dans l’année.
  • Autre point technique à prendre en compte : le type de Disque (SSD ou HDD) sur lequel seront stockées les données. Notez que Les disques durs SSD sont nettement plus rapides et offrent des performances plus prévisibles que les disques durs HDD. Choisir un disque SSD vous permettra donc de charger plus rapidement vos données.

Le contrat avec votre fournisseur d’hébergement Cloud : les éléments indispensables à vérifier

Le choix d’une solution Cloud et de l’externalisation du système d’information de votre entreprise passe nécessairement par la contractualisation avec un prestataire numérique. L’aspect juridique d’une prestation de Cloud Computing est très important. Il faut évidemment maîtriser la technique mais également le contrat. La présence de certains éléments indispensables dans le contrat doit être vérifiée.

  • La localisation des données et du fournisseur de services Cloud doit être définie contractuellement. En cas de litige, c’est l’assurance d’un recours juridique plus efficace. De plus, choisir un fournisseur dont les infrastructures sont situées en France permet non seulement de s’assurer d’un temps de réponse plus faible mais aussi de la conformité et de la familiarité du fournisseur avec l’environnement réglementaire français, concernant la protection des données.
  • Le niveau de service fourni doit également apparaître sur le contrat. Appelé SLA (Services Level Agreement), ce document oblige le fournisseur Cloud à préciser ses temps de résolution ou de contournement, qu’il s’agisse d’incidents (majeurs, critiques, mineurs), de demandes de changement (urgentes, importantes, courantes) ou bien encore de demandes d’évolution.
  • Les données à l’issue du contrat : qu’adviennent vos données lorsque le contrat prend fin ? Les modalités de restitution, d’effacement et de transfert doivent être précisées. Chez Value IT, par exemple, les données sont conservées 30 jours après la fin du contrat puis elles sont effacées.
  • L’adaptation de la solution Cloud aux évolutions légales et aux menaces cyber. Il est de la responsabilité du fournisseur de vous protéger contre des attaques extérieures et de mettre en place des stratégies pour contrôler les accès à ses systèmes et à ceux de votre organisation.

Un fournisseur de stockage Cloud n’a pas pour simple vocation de délivrer une prestation sur catalogue. Son rôle est celui d’un accompagnateur et d’un conseiller. Avant, pendant et après la migration vers le Cloud, à chaque étape du projet, il doit être un soutien et proposer une solution adaptée aux différentes contraintes de son client, qu’elles soient techniques, opérationnelles ou économiques. C’est dans cette optique qu’il pourra se positionner comme un partenaire de confiance tout au long de la collaboration.

 

Ce que les PME ont à gagner à passer au Cloud Computing

La transformation digitale impose aux entreprises de s’adapter toujours plus rapidement aux évolutions du marché. Agilité, évolutivité, capacité à absorber les montées en charge, vitesse d’exécution, gestion simplifiée de l’infrastructure… Les systèmes d’information doivent répondre aux enjeux de la digitalisation des entreprises. Si le Cloud Computing s’est imposé progressivement comme une réponse naturelle à ces enjeux, certaines PME hésitent à sauter le pas craignant pour la sécurité ou la perte de contrôle sur leurs données, alors que le Cloud est une véritable opportunité pour elles.

Le modèle traditionnel dit on Premise

Le modèle traditionnel du on premise consiste en l’acquisition, l’installation et l’hébergement de l’ensemble des composants informatiques (serveurs, applications, réseau) au sein de l’entreprise. La gestion et la maintenance de ses infrastructures et données sont réalisées par l’entreprise elle-même ou peuvent être confiées à un prestataire IT externe.

Ce modèle implique l’achat des équipements et logiciels par l’entreprise pour son usage exclusif. Il permet de choisir des solutions parfaitement adaptées aux besoins et aux contraintes de l’entreprise :

  • Besoin de performance pour certaines applications gourmandes en ressources (3D, Graphisme…)
  • Contrainte de sécurité ou quant à la localisation des données
  • Volonté stratégique de contrôle et d’indépendance vis à vis des tiers

Ce modèle se caractérise par des contraintes liées à des choix de moyen terme :

  • des investissements lourds : L’hébergement d’applications et de données on premise nécessite des investissements matériels et logiciels très lourds. Il faut aussi louer ou construire un centre de données pour héberger les serveurs et les ressources matérielles informatiques.
  • la lenteur et le coût pour faire évoluer ces infrastructures et les adapter aux besoins de l’entreprise. Toute évolution devra se faire en prenant en compte la solution en place et ses limites.
  • Le coût de gestion – et les  ressources – humaines et financières – pour assurer la performance et la disponibilité de ces matériels vitaux au SI de l’entreprise.

Le Cloud Computing et les services à la demande

Depuis 2010 environ, de multiples évolutions technologiques et de marché ont vu l’émergence du Cloud Computing. Ce modèle promet aux entreprises de pouvoir exploiter des ressources dans une logique d’usage et non plus d’investissement. Voyons comment.

D’une manière générale, le Cloud Computing est la mise à disposition d’un ensemble de ressources informatiques (serveurs, stockage, bases de données, composants réseaux, logiciels, outils d’analyse, etc.) rendu accessible par internet sur le modèle dit AS a service.

Ce modèle présente les caractéristiques suivantes :

La facturation à l’usage

Les fournisseurs de services cloud fonctionnent sur un modèle de facturation basé sur la consommation. Ceci signifie que les utilisateurs finaux paient pour les ressources qu’ils utilisent et uniquement pour cela.

Des ressources provisionnées et configurables à la demande

Les plateformes cloud permettent d’exploiter des systèmes distants As a service – ce qui permet aux entreprises de bénéficier d’une évolutivité verticale ascendante et descendante.

La mutualisation des ressources et des coûts de gestion

Les plateformes de cloud mutualisent les ressources techniques et les activités de gestion des infrastructures : mise à jour, sécurité, supervision…. Il s’agit de pouvoir faire évoluer rapidement les ressources utilisées par l’entreprise.

Les avantages du Cloud Computing

Un environnement cloud offre plusieurs avantages par rapport à un environnement physique dit on premise.

La flexibilité et la souplesse

L’un des grands avantages du Cloud est sa flexibilité. Il permet à l’entreprise d’adapter rapidement les ressources aux besoins de l’entreprise. En effet, il est possible de faire évoluer une infrastructure cloud en fonction des besoins de l’entreprise, qu’il s’agisse d’ajuster les capacité de calcul ou d’espace de stockage ou d’ajouter des ressources nouvelles. Les ressources Cloud sont mises à disposition “à la demande”.

On parle d’élasticité verticale – augmentation de la capacité de calcul en ajoutant de la RAM ou des processeurs à une machine virtuelle et d’élasticité horizontale – augmentation par l’ajout d’instances de ressources supplémentaires – par exemple ajout de machines virtuelles.

L’absence de coût de mise en place

Les solutions on premise exigent un investissement initial élevé ainsi que des frais de gestion, de maintenance et de mise à niveau de la technologie. Dans le cas du Cloud, il n’y a pas de coût de démarrage et une facturation proportionnelle aux ressources et aux services utilisés.

Des coûts plus transparents et plus prévisibles

Autre avantage du Cloud, les frais mensuels sont prévisibles.  Les modèles d’abonnement à prix fixe permettent de prévoir et de calculer les coûts en toute transparence, avec la possibilité de payer pour des ressources supplémentaires quand elles sont nécessaires.

Une accessibilité qui favorise les usages nomades

Les solutions Cloud sont accessibles à tout moment, depuis n’importe quel support, via une simple connexion internet. Cette accessibilité permet de favoriser le travail à distance et en mobilité, mais aussi de simplifier les échanges avec les clients, les partenaires et les fournisseurs. Si les solutions on premise permettent elles aussi d’être accessibles depuis un navigateur, cette accessibilité n’est pas toujours native dans le cas des solutions on premise.

Une reprise d’activité après sinistre facilitée

Les entreprises peuvent déployer les applications et les données sur des datacenters implantés dans différents sites. Ceci permet de choisir des sites performants et aussi de diversifier les lieux d’hébergements.  Cet élément s’avère particulièrement utile quand des systèmes de sauvegarde sont mis en place.

Cloud : les avantages pour votre PME

Le risque de sécurité du Cloud : un faux problème

Alors, si le modèle du Cloud Computing présente tant d’avantages, pourquoi les entreprises hésitent encore à franchir le pas ?  Le principal frein tient à la perception de “perte de contrôle” des données lorsqu’une entreprise choisit de migrer vers le cloud.  Les craintes concernant les données concernent la localisation, le risque de piratage et le risque de surveillance.

Le risque d’attaque n’est pas supérieur sur le Cloud

Sur le plan théorique, Le risque d’être attaqué est le même que les systèmes soient hébergés on premise ou sur le cloud.  Mais en réalité, les fournisseurs cloud mettront en œuvre des moyens techniques et humains supérieurs à ceux dont pourraient disposer les clients individuellement.

La localisation des données est connue et peut être garantie par le CSP (Cloud service provider)

Nombre d’entreprises redoutent que leurs données soient sauvegardées sur des serveurs situés dans des pays où la législation sur les données soit moins forte.  Il est possible de vérifier ce point avec son prestataire cloud qui pourra s’engager pour vous apporter la garantie que les données sont hébergées en France.

La crainte de surveillance des données n’est pas fondée

En migrant leur SI vers le Cloud, certaines entreprises ont le sentiment que leurs données pourraient être espionnées y compris par des puissances étrangères. Les législateurs prévoient des lois leur permettant d’accéder aux données des opérateurs de télécommunication. Mais ces possibilités obéissent à un cadre d’application strict.

Lorsqu’on ajoute les avantages liés à la multi localisation des données, il semblerait donc que les solutions cloud offrent, au contraire, des garanties accrues en matière de sécurité, comparé aux solutions que peuvent avoir les PME.

Le Cloud Computing : une opportunité d’agilité pour les PME

Avec le Cloud Computing, l’entreprise bénéficie de services parfaitement adaptés à ses besoins sans devoir engager des dépenses importantes d’investissement.  Si ses besoins évoluent à la hausse ou à la baisse, elle pourra faire évoluer facilement les services à la demande qu’elle utilise. Bien sûr, ce modèle apporte une simplicité de gestion car l’entreprise n’a pas à gérer ces évolutions mais peut se reposer sur le fournisseur de services cloud.

En outre, recourir au Cloud Computing procure aussi à l’entreprise des avantages en termes de risque, de business model, et d’avantage stratégique.

Le risque informatique est transféré au fournisseur de service Cloud

Avec le Cloud Computing, l’entreprise se dégage des taches liées au choix, et de la gestion d’une infrastructure coûteuse que les utilisateurs n’exploitent pas toujours au maximum. Dans un contexte où les besoins évoluent très vite, ces choix sont toujours plus difficiles et l’équation du modèle d’investissement on premise devient obsolète.

En choisissant le Cloud Computing, l’entreprise transfère la responsabilité de la gestion de l’infrastructure au fournisseur de services cloud, et tous les risques et les coûts associés.

Des ressources sont libérées et peuvent être réallouées à des activités cœur business plus créatrices de valeur

Pour les PME en particulier, le cloud va permettre d’expérimenter à moindre cout et d’essayer de nouveaux services avec ses clients, ses employés, ses partenaires et ses fournisseurs.

En externalisant la gestion de l’environnement informatique via des offres Cloud, les PME vont pouvoir peuvent concentrer leurs ressources et leurs efforts sur leur cœur de métier et des domaines susceptibles de créer davantage de valeur et de croissance.

Plus d’agilité pour saisir de nouvelles opportunités

Puisque que les coûts de mise en place d’une solution Cloud sont très bas voire inexistants, l’entreprise va pouvoir expérimenter et essayer de nouveaux services en limitant les risques financiers. Elle pourra essayer un logiciel et l’abandonner si elle s’aperçoit qu’il ne lui convient pas. Ou au contraire, elle pourra lancer un nouveau service avec des moyens limités et le développer si le succès est au rendez-vous.

C’est en quelques sorte le droit à l’erreur et donc la capacité à essayer et expérimenter qui est plus grande. L’entreprise peut prendre davantage de risque au niveau opérationnel et saisir davantage de propriété business.

 

Coud computing : comprendre les différents types et modèles de cloud

Plusieurs modèles de services Cloud existent en fonction de l’usage : En PaaS on développe, en IaaS on héberge, et en SaaS on consommeDans chacune de ces catégories de services, vous avez la possibilité d’opter pour des solutions de Cloud public, privé et hybrideCet article a pour vocation de définir ces différents concepts et de vous éclairer sur leurs avantages et inconvénients, ainsi que sur leurs cas d’usage.

Saas, Paas, Iaas : trois modèles de services cloud

Infrastructure, Plateforme, Software

 

  • Le IaaS : L’Infrastructure as a Service : L’infrastructure informatique de l’entreprise (serveurs, stockage, réseau…) est externalisée chez un fournisseur.
    L’entreprise conserve néanmoins à sa charge la gestion des systèmes d’exploitation, des bases de données ainsi que des environnements d’exécution et applications.
    Ceci implique donc de disposer de compétences en interne. Ce modèle IaaS est intéressant pour les Grands Comptes ou les PME qui doivent ajuster leur infrastructure selon leurs besoins. Pour les entreprises jusqu’ici en On-Premise, c’est un premier pas vers le cloud.
    Pour fonctionner, le système d’information doit reposer sur une infrastructure, matérialisée par des serveurs. Or, l’installation d’une infrastructure informatique est très coûteuse et complexe. Dans le modèle IaaS, l’entreprise loue tout simplement cette infrastructure.
    Quelques exemples de solutions IaaS célèbres : Amazon Web Services, Microsoft Azure, IBM Cloud, ou OVH pour ne citer que ceux-là.
  • Le PaaS : Plateform as a Service : L’entreprise externalise l’hébergement des outils logiciels et matériels de développement d’applications.
    L’entreprise peut donc garder la main sur l’installation, sur le développement des applications utiles et sur la sécurité des données. Ce modèle s’adresse aux entreprises qui souhaitent accélérer le développement de leurs applications métiers tout en s’affranchissant des contraintes de gestion de l’infrastructure matérielle et de l’environnement logiciel. Il s’agit là de louer une plate-forme, c’est à dire une machine avec un système d’exploitation pré-installé.
    Le PaaS est une solution pertinente pour les entreprises qui souhaitent garder une vraie marge de manoeuvre en interne sur le cycle de développement de leurs applications. Le DSI et ses équipes peuvent ainsi se concentrer sur les données et applications les plus critiques pour l’entreprise et spécifiques à leur secteur d’activité, les développer et les faire tester aux différents collaborateurs puisqu’elles sont par essence facilement accessibles.
    Quelques exemples de PaaS célèbres : Force.com de SalesForce, NowPlatform de ServiceNow, BlueMix d’IBM, Amazon Web Services Elastic Beanstalk, Google App Engine ou encore Heroku… Il en existe bien d’autres un peu moins connus.
  • Le SaaS : Software as a Service : Les logiciels et applications de l’entreprise sont externalisés auprès d’un hébergeur. Ce modèle SaaS se caractérise par un service à l’usage et une facturation à la consommation.
    Ainsi, les entreprises n’ont pas à se soucier ni de la maintenance de l’infrastructure, ni des ressources (mises à jour des logiciels et des systèmes d’exploitation) puisque ces actions sont gérées par les fournisseurs.
    Traditionnellement, un logiciel doit être installé sur l’ordinateur avant de pouvoir être utilisé. Dans le cas d’un logiciel en SaaS, l’entreprise n’a rien à installer. Le logiciel est toujours accessible, et ce quel que soit la machine utilisée. Ce modèle peut intéresser toutes les entreprises, petites ou grandes. Le SaaS est adapté aux structures qui ont besoin d’une solution “métier” qui a été développée spécifiquement pour ce besoin.
    Par exemple, on trouve sur le net, pléthore d’applications SaaS : des CRM (Hubspot, SalesForce, Soho…), des ERP (Netsuite, Divalto, Odoo, SAP…), des outils de gestion (Sage, Silae…), des solutions de gestions RH (Hello Talent, Lucca, Talentsoft, PayFit…)…

Dans chacune de ces catégories de services IaaS, PaaS et SaaS, vous avez la possibilité d’opter pour des solutions de cloud public, privé et hybride : découvrons-les !

Cloud privé, cloud public, cloud hybride : les modèles de déploiement

Le NIST (National Institute of standards and Technology) a défini différents modèles de déploiement, dont le cloud privé, le cloud public et le cloud hybride.

Cloud privé, public et hybride : définitions

Choisir le modèle de déploiement adapté aux besoins de l’entreprise est une étape essentielle dans un projet de migration vers un modèle de cloud computing. Pour effectuer ce choix, il est nécessaire de bien comprendre les spécificités de chaque modèle.

  • Le cloud Privé : est dédié à un seul utilisateur final. Il peut se situer dans un data center sur site, ou être hébergé dans le Cloud par un prestataire de service.
  • Le cloud Public : est une infrastructure qui est mutualisée à plusieurs utilisateurs. L’entreprise exploite des services cloud sur Internet avec un matériel et des logiciels qu’elle ne possède pas. Le cloud public n’a pas vocation à héberger vos données sensibles ou stratégiques, qui nécessitent un haut niveau de sécurité.
  • Le cloud Hybride : est composé de deux infrastructures cloud distinctes ou plus, pouvant être privées ou publiques. L’entreprise peut combiner public et privé afin de pouvoir exécuter les charges de travail sur ces deux modèles de déploiement, sans problème de compatibilité.

Cloud Privé, public et hybride : les avantages et inconvénients des différents modèles

Le Cloud privé : la réponse à une exigence optimale de sécurité

Le cloud privé, aussi appelé cloud dédié, propose :

  • une mutualisation des ressources informatiques sur les appareils connectés au sein d’une même entreprise ;
  • un contrôle sur la maintenance des données conservées sur un réseau privé;
  • une facturation simple et précise avec un prix d’abonnement fixe par rapport au nombre d’utilisateurs
  • une sauvegarde des ressources
  • la réponse à une exigence optimale de sécurité. Le cloud privé est hébergé par des liens privés et très sécurisés

Le Cloud privé présente néanmoins quelques limites. En effet, la mise en place de cette infrastructure représente un coût plus important qu’une location de partition dans un Cloud public. De plus, il s’agit d’un espace moins performant lorsqu’il est saturé d’informations.

Quelles sont les entreprises concernées par le cloud privé ?

Le cloud privé est plébiscité par les organisations des industries réglementées ; les banques, les compagnies aériennes, les sociétés d’assurances, les institutions publiques comme l’éducation, la santé, le gouvernement, l’armée, etc. En effet, ces entreprises hébergent des informations très sensibles et les données confidentielles de leurs clients ou partenaires.

A ce titre, elles n’ont pas le droit légal d’utiliser les messageries publiques hébergées dans le cloud public comme gmail ou outlook.

Elles peuvent donc les exposer au danger de piratage informatique (ransomware, phishing, etc.). En effet, les actes de cybermalveillance ont explosé ces dernières années. Le piratage de comptes bancaires et de données confidentielles continue de faire des ravages en France et dans le monde entier.

Ce mode opératoire a pour mission d’extorquer les données sensibles afin de piéger les entreprises et les utilisateurs du Web. Pour se protéger des hackers organisés en réseaux internationaux, le Cloud privé répond à votre besoin accru de sécurité numérique. Il propose une solution adaptée et flexible pour combattre les cyberattaques.

Cloud public : un modèle simple et accessible

L’atout premier du cloud public, c’est l’économie qu’il offre en matière d’investissement. En effet, un cloud public ne nécessite pas d’acquisition matérielle ni logicielle et pas non plus de centre de données pour héberger ces systèmes.

Citons d’autres avantages :

  • une grande simplicité et une flexibilité d’utilisation (aucun achat de matériel supplémentaire n’est à prévoir, l’application est très rapide à télécharger) ;
  • des capacités de stockage capables de servir une multitude d’utilisateurs au même moment ;

Parmi les limitations, citons la configuration, la sécurité et la spécificité des accords de niveaux de service, ce qui en fait une solution peu idéale pour les entreprises qui utilisent des données sensibles soumises à des règles de conformité.

Du fait de sa grande diversité de services disponibles, le Cloud public est le bon choix pour un ensemble de cas spécifiques :  

Créer une nouvelle activité, un nouveau produit. Pour débuter une nouvelle activité qui exige beaucoup de réactivité, le Cloud public est un excellent terrain de jeu. Il permet de monter en compétences sur une nouvelle technologie ou encore d’évaluer rapidement le potentiel de réussite d’un nouveau projet. Dans cette optique, l’entreprise cherchera à réduire le temps passé dans le Cloud public une fois les tests effectués et la faisabilité démontrée.

Faire face à des pics d’activité : Tête de prou des usages du Cloud public, le débordement est un indispensable du e-commerce pour faire face efficacement aux pics d’activités (et donc de charge sur l’infrastructure) lors des périodes de fêtes, de soldes et tout autre évènement imprévisible. Certains éditeurs de jeux vidéos y ont recours à chaque nouveau lancement ou offres promotionnelles, au moins pendant les premiers jours de vente.

Porter des projets de nouvelles technologies : Intelligence artificielle, Big Data, exploration de technologies de conteneurisation et de virtualisation requièrent des environnements et des ressources particuliers. Les grands Cloud providers proposent pour cela des offres packagées, qui permettent d’utiliser directement ces technologies avec les propres données de l’entreprise, sans avoir à investir à l’aveuglette.

Déporter ses applications d’entreprise : Courants et répandus, les usages d’applications métier en mode SaaS (CRM, productivité, ressources humaines, collaboration…) conduisent les entreprises à se distancier complètement de leur maintenance. Sécurisées et à jour, elles rationalisent une stratégie informatique et offrent une gamme de solutions populaires s’enrichissant d’année en année.

Archiver et stocker « à froid » : Pour toutes les données qui ne sont pas destinées à évoluer, au contenu fixe, mais critique (des plans, des factures, des archives de messagerie…), le Cloud public propose des solutions de stockage à des tarifs très attractifs. Ici, on ne recherche pas la performance, mais l’accessibilité immédiate à la donnée et la simplicité de mise en œuvre, via un accès sécurisé et chiffré. Le coffre-fort de données dans le Cloud public se montre plus commode que la bande (parfois conservée dans un coffre physique, en banque) ou le stockage primaire, bien trop coûteux.

Se libérer des machines physiques : L’informatique prête à l’emploi répond aux besoins de s’affranchir de l’administration quotidienne de son infrastructure. En optant pour une Infrastructure as a Service, serveurs, baies de stockage, connexions sont de la responsabilité du prestataire spécialisé, pendant quse l’entreprise se concentre sur la seule installation de ses applications sur les machines mises à disposition.

Le cloud Hybride : une plus grande flexibilité pour les entreprises

Le cloud hybride, quant à lui, conjugue les avantages du cloud privé et du cloud public. L’entreprise dispose de deux modèles de déploiement combinés sur lesquels elle peut répartir ses charges de travail.

Les avantages du cloud hybride :

  • Une grande flexibilité: l’entreprise peut déplacer les charges entre les solutions cloud computing à mesure que les besoins et les coûts varient.

Une entreprise peut stocker des données sensibles sur un cloud privé ou au sein d’un datacenter local et, simultanément, tirer parti des ressources informatiques robustes d’un cloud public managé.

  • Les services cloud hybrides sont puissants:  ils offrent aux entreprises un contrôle accru sur leurs données privé
  • Un cloud hybride repose sur une console unique de gestion, contrairement à une stratégie multicloud où les administrateurs doivent gérer chaque environnement cloud séparément.

Citons quelques points négatifs :

  • Le déploiement d’un cloud hybride nécessite la présence d’expert en informatique, notamment pour assurer la sécurité maximale des donné
  • Un problème de compatibilité peut également se poser car une infrastructure sur site performante peut ne pas être en mesure de fonctionner correctement avec une infrastructure publique qui est moins performante, ce qui peut nuire à l’efficacité du Cloud hybride.

Cloud hybride : 4 cas d’usages qui ont du sens

Un cloud hybride, oui, mais pour quoi faire ? Reprise après sinistre, archivage, développement applicatif en mode DevOps, gestion des pics de charge ; voici quelques scénarios qui peuvent justifier l’emploi de la fameuse architecture hybride. Quels sont les cas d’utilisation les mieux adaptés au cloud hybride ? Voici trois scénarios populaires, et un cas d’usage plus complexe à mettre en place, mais tout aussi efficient.

  • La reprise après sinistre et continuité d’activité
    La mise en place d’un environnement indépendant pour faire de la reprise après sinistre ou de la continuité d’activité peut-être très coûteux. L’utilisation d’une configuration de cloud hybride, où le centre de données local repose sur un service cloud public en cas d’urgence, est beaucoup plus abordable. De plus, il peut donner aux entreprises un accès à des ressources informatiques dans un endroit géographique suffisamment éloigné de leur site principal pour qu’il soit peu probable qu’elles soient affectées par les mêmes événements critiques.
  • L’archivage
    L’utilisation d’un cloud hybride pour archiver les données présente des avantages très similaires à la reprise après sinistre. Au point que nombre d’entreprises mettent en place des projets de PRA et d’archivage dans des clouds hybrides simultanément.
    Le cloud public n’est pas nécessairement moins cher que les systèmes on premise. Mais dans le cas d’usage de l’archivage, où les données froides sont stockées sans y faire régulièrement appel, cela peut s’avérer très rentable.
  • Développement d’applications en mode DevOps
    Le développement d’applications est un autre domaine où les clouds hybrides peuvent être forts utiles. A mesure que les organisations adoptent une approche DevOps et les méthodologies agiles, les équipes informatiques cherchent des moyens d’accélérer le processus de développement. Pour ce faire, les instances de cloud public sont très simples à utiliser.
    Une fois que les applications sont prêtes à être déployées en production, elles peuvent être intégrées facilement au datacenter de l’entreprise pour des raisons de gouvernance des données ou de coût. Le modèle de cloud hybride permet donc à l’organisation de répondre à des besoins de rapidité et de flexibilité pour le développement logiciel et de faibles coûts de production.
  • Déborder sur le cloud public en cas de pic de charge
    De nombreuses organisations sont également intéressées par l’utilisation d’un cloud hybride pour bénéficier rapidement de ressources informatiques si les besoins pour un applicatif dépassent le périmètre du datacenter. Concrètement, il s’agit d’exécuter des applications dans un cloud privé jusqu’à ce que la demande de ressources atteigne un certain niveau. Et là de basculer vers un service de cloud public. Reste que ce type de scénario est compliqué à mettre en œuvre.

En tant que responsable d’entreprise ou DSI, vous cherchez la meilleure solution Cloud pour stocker vos données… Hébergement, Sauvegardes, Tests et développements, Collaboration, CRM, Bureaux virtuels, Messagerie hébergée… cette liste d’usages n’est pas exhaustive. L’analyse de vos besoins en Cloud est primordiale pour trouver le modèle de cloud adapté à votre entreprise. N’hésitez pas à vous faire accompagner et conseiller. Les entreprises informatiques, expertes en gestion des systèmes d’information pourront ainsi vous préconiser des services Cloud en fonction de vos attentes, de votre organisation, du niveau de sécurité requis et de votre budget.

Cybersécurité en entreprise : quels sont les leviers pour sécuriser le système d’information ?

De nombreuses entreprises sont perdues face à la multitude d’actions qui devraient être mises en place pour se protéger. Alors qu’en réalité, les risques peuvent être considérablement réduits en mettant en œuvre des actions simples. Des actions ponctuelles réalisées en l’absence d’une démarche systématique n’auront pas d’efficacité sur le long terme. Sécuriser son système d’information sous-entend une démarche structurée ainsi qu’une approche systématique de moyen terme.

 

L’un des défis de la mise en œuvre d’un plan de sécurité est véritablement d’orchestrer de manière globale la mise en œuvre d’une multitude d’actions sur l’ensemble du parc informatique de l’entreprise.  Dans le but de favoriser une mise en œuvre cohérente et ordonnée, il est important d’identifier les grands domaines sur lesquels agir.

Ces leviers peuvent être regroupés au sein des domaines suivants :

  • Les réseaux et les accès internet
  • Le poste de travail
  • La messagerie
  • Les droits utilisateurs et les mots de passe
  • La sensibilisation des utilisateurs
  • Les sauvegardes
  • Le plan de reprise en cas d’attaque

Partie 1 : Les 7 leviers pour sécuriser votre système d’information

1 – Sécuriser les réseaux et les accès internet

Maîtriser les accès internet avec une passerelle sécurisée

Une passerelle Internet sécurisée permettra de filtrer ou de bloquer les contenus dangereux pourront être filtrés ou bloqués, et ainsi empêcher des fuites de données (Filtrage des URL, détection et blocage des logiciels malveillants, contrôle des demandes…)

Sécuriser les accès WIFI

Plusieurs mesures sont à prendre :

  • Mettre en place un système d’authentification (mot de passe, ou confirmation par un administrateur)
  • Cacher le SSID aux utilisateurs externes
  • Bien choisir l’emplacement du point d’accès wifi (au cœur de l’entreprise, et non près des fenêtres)
  • Limiter la portée du point d’accès wifi (restreindre l’accès aux seuls murs de l’entreprise)

Cloisonner le système d’information pour limiter le risque de propagation

Pour limiter le risque de propagation, il convient de mettre en place un ou plusieurs dispositifs de filtrage permettant un cloisonnement entre les différentes zones réseaux plus ou moins critiques du système d’information.

2 – Sécuriser les postes de travail

Activer un pare-feu local

Le pare-feu doit permet de ralentir ou limiter l’action d’un acteur malveillant ayant réussi à prendre le contrôle d’un des postes de travail.

Utiliser et mettre à jour les logiciels antivirus

Les antivirus sont à installer sur les postes. Ils doivent être mis à jour régulièrement pour assurer une protection efficace. Il est important de veiller à la mise à jour des signatures et du moteur du logiciel et de lancer l’analyse régulièrement sur les espaces de stockage des fichiers de l’entité.

Il faut appliquer les correctifs de sécurité des programmes utilisés, dès qu’ils sont disponibles. Un process de mise à jour des logiciels doit être mis en place pour s’assurer que les mises à jour sont faites régulièrement.

3 – Sécuriser les messageries

Il est possible d’équiper le serveur de messagerie mail de l’entreprise d’un logiciel de protection avancé, un anti-spam pour lutter contre le phishing, un anti-virus, un anti-malware.

4 – Gérer les droits utilisateurs et les mots de passe

Favoriser une politique d’usage de mots de passe

Il est important de mettre en place une politique de mots de passe complexes et de veiller à son application.  Cette politique de mot de passe pourra également impliquer un changement fréquent et inciter à utiliser des mots de passe distincts.

Mettre en place une authentification à double facteur

Les solutions d’authentification permettent de confirmer les connexions en envoyant un code sur un deuxième appareil, de sorte que connaître le mot de passe ne suffit pas pour se connecter.

Limiter les droits des utilisateurs et les autorisations des applications

La première règle d’or est que les utilisateurs ne soient pas administrateurs de leur poste de travail. Ceci rend impossible l’installation de logiciels et l’exécution involontaire de codes malveillants.

Une autre bonne pratique consiste à dédier et à limiter les comptes d’administration sur les ressources du système d’information et à mettre en place des postes de travail dédiés à l’administration, sans accès à Internet.

5 – Sensibiliser les collaborateurs à la cybersécurité

Les meilleures politiques de sécurité ne sont rien, si les utilisateurs n’ont pas les bons réflexes pour choisir des mots de passe complexes, bien utiliser leur messagerie, reconnaître les spams et les mails de phishing. La sensibilisation pourra se faire via des ateliers, des formations, et des actions visant à faire de la sécurité une véritable compétence professionnelle.

6 – Sauvegarder les données et les mettre en lieu sûr

En cas d’incident grave, la sauvegarde permettra à l’entreprise de poursuivre son activité.

Mettre en place une sauvegarde des données réclame une réflexion méthodique :

  • Identifier les données à sauvegarder et en particulier les données dites critiques.
  • Déterminer le rythme des sauvegardes, en fonction des pertes maximales acceptables
  • Choisir le ou les supports et les emplacements adaptés pour sécuriser la sauvegarde
  • Faire des tests de restauration des supports de sauvegarde pour vérifier leur fonctionnement

7 – Préparer un plan de reprise en cas d’incident de sécurité

Ce plan aura plusieurs objectifs :

  • Réagir rapidement pour limiter la propagation de l’attaque
  • Identifier rapidement la ou les vulnérabilités et les corriger
  • Rétablir les activités business au plus vite, grâce à un plan de continuité ou de reprise
  • Minimiser les pertes financières et de réputation

Partie 2 – Parvenir à sécuriser l’entreprise dans la durée

Tous ces leviers permettent de réduire les risques et permettront à une entreprise de pouvoir poursuivre en cas d’incident de sécurité. Pour autant, la mise en œuvre de ces leviers représente un défi. Car la sécurité est un sujet qui doit être géré dans la durée.

Tenir à jour l’inventaire des équipements et les cartographies des systèmes

L’arrivée de nouveaux collaborateurs, l’ouverture de nouveaux sites, la mise en place de nouvelles applications …. Le système d’informations évolue au quotidien. Sans une cartographie mise à jour, il n’est pas possible de vérifier que la sécurité du système d’information reste efficace. Ce bilan doit être mis à jour régulièrement, au moins deux fois par an.

Accompagner les utilisateurs dans la durée   

Trop d’entreprises se contentent d’actions ponctuelles pour sensibiliser les utilisateurs aux bonnes pratiques de sécurité. Pour réellement créer des réflexes, il faut répéter, répéter, répéter. Il est donc essentiel de concevoir un plan de moyen terme pour développer ces compétences. Certaines entreprises conçoivent des formations mensuelles online, auxquelles les salariés doivent participer et valider un examen de passage.

Evaluer régulièrement le niveau de sécurité d’une entreprise

Les meilleures politiques de sécurité réclament d’être réévaluées régulièrement. Tout simplement pour s’assurer que la pratique est conforme à la politique et pour identifier de nouveaux risques ou de nouvelles vulnérabilités. Une évaluation de sécurité biannuelle est essentielle pour s’assurer que les moyens de sécurité restent adaptés aux menaces de l’entreprise.

Créer un poste de RSSI et ancrer la sécurité au niveau de la direction générale

Définir la politique de sécurité dans l’entreprise, vérifier la mise en place des mesures de protection, animer le déploiement, réévaluer la sécurité…. Sont des tâches permanentes qui peuvent représenter une charge de travail importante. De plus, le succès de la mise en œuvre d’une politique suppose une implication de l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise. Les entreprises peuvent ainsi envisager la création d’un poste de RSSI pour porter cette responsabilité. Et en tout état de cause, cette démarche réclamera un engagement fort de la Direction Générale pour réellement impliquer l’ensemble des collaborateurs.

 

Un prestataire spécialisé en sécurité pourra accompagner de manière globale une PME dans la mise en œuvre de son plan de sécurisation, tant sur le volets préventif – réseaux, poste de travail, mots de passe, messageries –  que sur le volet réactif – Sauvegarde et Plan de reprise d’activité.

 

7 leviers pour sécuriser votre SI - Cybersécurité Entreprise

Source : Guide ANSSI

LA CYBERSÉCURITÉ POUR LES TPE/PME EN 12 QUESTIONS

Audit de sécurité informatique : 6 étapes pour évaluer le niveau de sécurité de votre entreprise

Les attaques récentes incitent de nombreuses entreprises à s’interroger sur leur exposition réelle aux risques de cyberattaque. Et face à l’offre pléthorique d’audits, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Alors quels sont les objectifs d’un audit de sécurité informatique ? Comment se déroule un audit ? Et que peut-on attendre d’un audit ?

Audit de sécurité informatique : comprendre les objectifs et sa finalité

D’une manière générale, un audit de sécurité informatique a trois objectifs principaux :

  • Evaluer le niveau de risque auquel est exposée une entreprise
  • Identifier les vulnérabilités du système d’information
  • Renforcer la sécurité de son système grâce à des actions correctrices

Au-delà du simple constat, un audit de sécurité informatique doit être orienté vers la mise en place d’actions qui permettront d’améliorer la sécurité du système d’information.

Un audit de sécurité informatique est toujours une mission d’évaluation de conformité par rapport à une politique de sécurité existante ou s’il n’en existe pas, par rapport un ensemble de règles de sécurité.

L’audit vise à évaluer le niveau d’application de ces règles sur le système d’information par rapport aux règles qui devraient être effectivement appliquées selon la politique de sécurité définie.

Le processus d’audit de sécurité informatique est un processus cyclique, par lequel l’entreprise réévalue périodiquement la conformité de ses pratiques par rapport au référentiel qu’elle s’est donnée.

Comment se déroule un audit de sécurité informatique ?

Un audit se déroule généralement selon 6 étapes :

  • Le cadrage de l’audit
  • La préparation de l’audit
  • L’audit organisationnel
  • L’audit technique
  • l’audit intrusif ou test d’intrusions
  • Le rapport final et le plan d’action

1  –  Le cadrage de l’audit de sécurité informatique

Le cadrage de l’audit vise à préciser les objectifs de l’audit, le périmètre à auditer, les limites et les modalités de l’intervention ainsi que les livrables.  Ce cadrage donne lieu à la rédaction d’une charte d’audit.

Le périmètre inclut généralement :

  • Le parc informatique dans son ensemble : matériels, logiciels et les applications
  • Les dispositifs de sécurité tels que les antivirus, les pare-feu, les antispam, et leur efficacité.
  • Les procédures de sécurité et les règles concernant les droits d’accès à l’information
  • Le système de sauvegarde, qui est l’une des pièces essentielles de la sécurisation d’une entreprise et servira à redémarrer en cas d’attaque ou d’incident de sécurité.

2 – La préparation de l’audit de sécurité informatique

Cette phase va permettre de donner le cadre général et les axes à suivre lors de l’audit terrain. Plusieurs objectifs doivent être définis :

– réaliser des entretiens avec les responsables opérationnels afin d’identifier leurs attentes vis-à-vis de l’audit

– définir le planning de réalisation de la mission de l’audit

– identifier les personnes qui seront amenées à répondre au questionnaire d’audit

– planifier l’audit organisationnel et physique, l’audit technique et le cas échéant les test d’intrusion 

3 – L’audit organisationnel et physique

L’objectif visé par cette étape est donc d’avoir une vue globale de l’état de sécurité du système d´information et d´identifier les risques potentiels sur le plan organisationnel.

Dans cette étape, l’auditeur va s’intéresser à deux volets :

– l’aspect physique du système d’information – les matériels, le réseau, les systèmes présents sur les différents sites,

– la gestion et l’organisation de la sécurité, sur le plan des procédures.

L’auditeur suit des questionnaires pré-établis permettant d’appréhender les pratiques en termes de sécurité. L’auditeur va pouvoir apprécier le niveau de maturité en termes de sécurité de l’organisation auditée, identifier les failles ainsi que la conformité par rapport à la norme prise en référence pour l’audit.

4 – L’audit technique

L’audit technique est réalisé suivant une approche méthodique allant de la découverte et la reconnaissance du réseau audité jusqu’au sondage des services réseaux actifs et vulnérables. Cette analyse mettra en évidence les failles et les risques, et les conséquences d’intrusions ou de manipulations illicites de données.

L’auditeur pourra apprécier l’écart avec les réponses obtenues lors des entretiens. Il testera aussi la robustesse de la sécurité du système d’information et sa capacité à préserver les aspects de confidentialité, d’intégrité, de disponibilité et d’autorisation.

Compte-tenu de la quantité de composants à vérifier, l’auditeur a recours à des outils permettant d’automatiser les vérifications, tels que des outils de reconnaissance des équipements, de tests automatiques de vulnérabilités du réseau, ou de tests de solidité de sécurité.

L’auditeur doit veiller à ce que les tests réalisés ne viennent pas gêner l’activité de l’entreprise ni la continuité de service du système audité.

5 : les tests de pénétration ou simulation d’attaques

Ces tests sont des mises en situation qui visent à simuler une attaque et à voir quels pourraient être les dégâts causés à l’entreprise.

Ces tests peuvent être réalisés par des auditeurs qui n’ont que peu d’informations sur le système audité. (On parle de boîte noire, boîte blanche ou boîte grise selon les informations dont ils disposent).

Là aussi, l’auditeur doit veiller à ne pas provoquer de dommages, ni de perturbations pour l’organisation auditée. Ces tests d’intrusion doivent aussi être réalisés dans le respect d’une charte de déontologie stricte, qui est décrite dans la charte de l’audit.

6 : Le rapport final et le plan d’action

Le rapport de synthèse doit permettre à l’entreprise de comprendre les risques principaux et prioriser les actions à mettre en place.

Le rapport final comporte donc :

  • les résultats de l’ensemble des tests réalisés et la liste des vulnérabilités détectées.
  • une évaluation des vulnérabilités permettant de classifier les problèmes
  • des propositions d’actions correctrices

Face à la quantité de vulnérabilités remontées, il est essentiel de pouvoir synthétiser et dégager des priorités d’action. Les vulnérabilités seront classées selon 3 critères :

  • l’impact business potentiel si cette vulnérabilité était exploitée par un attaquant
  • la difficulté à exploiter cette vulnérabilité (niveau de compétences ou besoin en matériel)
  • le coût nécessaire pour réparer cette vulnérabilité.

Audit de sécurité informatique : réussir la mise en œuvre dans la durée

L’audit de sécurité informatique, s’il permet d’identifier les mesures à prendre, ne constitue qu’une étape. S’ensuit la mise en œuvre et le suivi du plan d’action recommandé.

Le plan d’action pourra comporter 3 grands volets :

  • le volet technique : il comporte la mise en place de nouveaux dispositifs de sécurité
  • le volet organisationnel concerne les règles de sécurité : politique de mots de passe, droits des utilisateurs, mais aussi la création d’un poste de RSSI par exemple.
  • le volet humain, quant à lui, cherche à inscrire dans la durée les bonnes pratiques sur la manière dont les utilisateurs gèrent la sécurité au quotidien dans leur métier

L’évolution des organisations, des parcs matériels et des menaces impose aux entreprises de réévaluer régulièrement leur niveau d’exposition. Une évaluation de sécurité biannuelle par un auditeur externe semble essentielle pour assurer que les moyens de sécurité restent adaptés aux menaces de l’entreprise.

Les entreprises souhaitant s’engager dans une démarche volontaire de sécurisation de leur système d’information, auront intérêt à se rapprocher de prestataires ayant une spécialisation en sécurité.

Ces prestataires pourront apporter leur expertise pour réaliser l’audit de sécurité informatique mais aussi accompagner l’entreprise dans la mise en œuvre d’un plan global de sécurisation du système d’information.

 

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